Notre terrain de jeu humain nous a fait goûter à la dualité : compétition, conflits, émotions de manque,… Nous avons fini par croire que vivre c’est s’adapter aux contingences extérieures, en essayant d’en souffrir le moins possible.
On laisse alors notre bonheur être défini par le dehors : le jugement des autres, les rapports de force; la température, la quantité de moyens matériels; la chance ou le hasard, …
À ça nos héritages religieux ont ajouté une morale à appliquer — généreuse, sauf que tout autant définie du dehors, cette fois par l’institution.
Et si grandir, dans notre quête de sens, revenait à faire rimer un peu plus souvent bonheur avec intérieur ?… Continuer la lecture de Contacter comme une force en soi