Archives de l’étiquette : joie de vivre

Pourquoi donc suis-je sur cette planète?

«Votre expérience ici est conçue pour
vous faire ressentir tout ce qu’il est possible de ressentir  sur Terre»  *

J’ai trouvé ici peut-être la plus belle explication que je connaisse sur le sens de mon incarnation. Je vous en partage ma compréhension.

Aussi longtemps que l’expérience terrestre est faite de dualité, elle nous fera vivre l’envers et l’endroit de notre relation avec la Source créatrice de la vie et avec nous-même: tantôt le ressenti d’en être séparé — avec la peur, le manque et la souffrance qui en résultent; tantôt le ressenti d’y être réuni — avec l’amour et la joie que ça produit.

Pourquoi aurais-je choisi cette exploration?…
Nous savions qu’il y aurait là une expérience d’évolution accélérée, qui nous ferait comprendre le véritable sens de la Vie et notre vraie nature malgré les apparences. Un grand rêve-laboratoire qui mettrait au défi notre liberté de choisir…

Si ce thème résonne bien pour vous, ne manquez pas de parcourir l’article…

Denis Breton

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* Phrase tirée de: « Ask Yourselves These 2 Questions & Then Ascend», par le Conseil arcturien 9D, via Daniel Scranton.

Entretenir notre joie de vivre …à plusieurs

 

À quand remonte votre dernière pitrerie, ou une belle gaffe devant des amis? Tout le monde pouffe de rire, les enfants accourent pour voir ce qui s’est passé, et l’instant d’après les conversations s’animent plus encore…

Ça vous a fait oublier cette nouvelle-catastrophe lue dans un journal ou écoutée sur les ondes : «…pas encore une!»
Vous étiez resté-e un bout de temps à jongler, sentant votre niveau d’énergie baisser tout d’un coup: le courage vous avait manqué pour vous remettre à votre tâche, … surtout si vous étiez seul-e pour absorber ça.

Journaux, télévision ou Internet : que risquons-nous si nous n’avons pas tout lu, tout vu, tout entendu?… Peut-être de conserver l’envie de dire oui  à la moindre occasion de nous joindre à une fête, à un groupe d’amis, à un événement qui nous remonte le moral : on reçoit les confidences d’un premier, on donne un coup de main à un autre,… et on revient à la maison en se surprenant à fredonner une chanson.

Je me rappelle cette vieille tante bonne comme du bon pain, qui disait en nous regardant du coin de l’œil : «le bonheur ça se décide, p’is ça se pratique à plusieurs…»

Denis Breton

Aussi simple que respirer…

Quelle est la dernière fois que j’ai simplement profité d’une respiration profonde pour aspirer en même temps l’amour de la Vie?

J’aspire l’amour à partir du cœur…
Je relâche mon souffle pour m’en nourrir comme d’une caresse…
…Je l’offre à distance, au monde ou à quelqu’un…

Quelle sera la prochaine fois?…

Ma respiration peut rester un automatisme : je reste en survie, je marche au pas de l’existence…
Elle peut se faire pleine conscience, et même complicité avec la Vie : dans l’instant, j’ai le cœur qui entre en danse…

Denis Breton

M’enfarger dans les fleurs du tapis …ou humer le parfum d’une vraie fleur ?

En un seul message ce matin (1), ces amis Arcturiens — que je me passionne à lire depuis qu’ils nous reviennent à tous les jours — nous livrent un enseignement que j’ai mis des années à appliquer vraiment : pour ça, j’échangerais des milliers de pages que j’ai pu lire au rayon spirituel.

En bref, ils me rappellent que le bonheur est essentiellement une affaire de focus, de conscience de l’instant. Où est-ce que je focalise mon attention, et du coup mon emploi du temps ?… Je le vois mieux encore suite aux moments où j’ai agi par réflexe.

Ça m’étonne toujours de constater que leur suggestion fait pourtant évidence au cœur : savourer le parfum d’une seule fleur peut faire plus pour me redonner confiance en la vie  — et nous guérir ensemble de ce qui défigure la beauté du monde — que de pourchasser ceux qui le salissent.

Denis Breton
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(1) Ce texte, en anglais

Se donner le bonheur comme une rivière le courant

Chacun de nous est en mesure de faire cette petite expérience physique : quand une fatigue intense nous prend, il arrive que sortir marcher d’un pas rapide au grand air nous remette sur nos pieds autant que si on avait fait une sieste. On le réalise alors : ce n’est pas que l’énergie nous manquait, c’est qu’elle ne circulait pas assez.

Faire circuler l’énergie du bonheur obéirait-il aux mêmes lois ?… Continuer la lecture de Se donner le bonheur comme une rivière le courant