Oui, le cœur est un feu.
Si sa flamme vacille,
mieux vaut d’abord souffler sur ses braises
que d’y rajouter du bois.
Ω
Oui, le cœur est un feu.
Si sa flamme vacille,
mieux vaut d’abord souffler sur ses braises
que d’y rajouter du bois.
Ω
Vous connaissez ces roches qu’on prend pour d’inutiles cailloux, trouvées dans les gisements de quartz ?… Les gens ont quelque chose qui leur ressemble : l’extérieur est quelquefois irrégulier, peu invitant. Mais patientez : vous trouverez bien une fissure pour y entrer, masquée sous des rires ou des larmes. Là vous attend leur cristal, un soleil intérieur !
Mais pour le voir, vous aurez dû y croire par avance …et vous connecter au vôtre.
Ω
Un aîné m’a dit un jour :
« Quand tu vas t’apercevoir, après un bout de temps, que le temps s’était arrêté. Là tu vas comprendre c’est quoi être heureux… »
Ω
Certains jours , il vaut mieux construire des ponts d’abord, puis faire couler la rivière en dessous par après…
Ω
Une quête de sens réussie est une expérience corps-et-âme. Notre corps est notre grand ami : toujours il nous dit vrai, nous donne l’heure juste dans l’instant. On peut demander à la Vie des réponses, et avec la pratique les capter par le corps. « Le Verbe s’est fait chair » dit la Bible. Une idée lumineuse ? d’où vient qu’on a envie de la danser ?…
Ω
Sur la rue, croisé une personne qui n’a pas le moral : regards des yeux, sourires échangés…
Une joie monte, qui nous surprend : on s’aperçoit qu’on a donné des mains à la Vie pour accomplir un de ses petits miracles.
Ω
Notre vie est conçue pour être une exploration de croît-sens — un des visages du bonheur. Cette simple pensée peut alimenter en nous l’audace de vivre. Qu’est-ce que j’aimerais goûter, découvrir ici ?…
Qu’est-ce que je sais déjà pour faire face à ce qui me contrarie là ?…
Au sortir d’une expérience forte, il nous devient plus naturel de nous demander : « Qu’est-ce donc que j’ai appris cette fois-ci ?…»
Ω
…Et si nous regardions les changements planétaires d’un point de vue créateur plutôt qu’avec une vision d’apocalypse ?… La peur nous paralyse, la confiance nous énergise.
Surtout que nous connaissons déjà les solutions : soigner la planète, combler les écarts de revenus et les exclusions sociales, dresser la politique aux approches gagnants-gagnants…
Le premier climat à changer est en vous et en moi …puis il nous réunit…
Ω
Vous connaissez le secret ?…
Chh … Approchez-vous discrètement : les compagnies de cosmétique sont à l’affût…
C’est pourtant bien simple de rester jeune : changez votre échelle du temps.
Quand vous envisagerez vraiment d’avoir l’éternité devant vous, alors vous allez vous trouver bien jeune …
…et votre visage va s’en souvenir.
Ω
Un dicton populaire affirme que les pommes ne tombent jamais loin de l’arbre. Ce qui m’irrite le plus chez quelqu’un d’autre a des racines en moi, sinon je passerais sans me buter dessus : un besoin insatisfait ? Une culpabilité non dite ?… En tout cas une occasion de contacter un aspect de moi mal aimé.
Ω
S’il est vrai que j’ai placé devant moi ce qui m’arrive, quel clin d’œil y reconnaître, quand ça ne fait pas mon affaire ?…
Peut-être l’événement importe-t-il moins que ce que je vais choisir d’en faire…
Ω
« Ça, ça n’arrive qu’à moi… » Stress, décision difficile à prendre : je me force à vite trouver une solution, je jongle, ou j’essaie de penser à autre chose. Marécage émotif…
Des vieux disaient : « dors don’ là-dessus… » Se peut-il que la Vie ait déjà trouvé une solution pour moi, si je lui permets ?… Essayons alors d’éprouver l’émotion que c’est gagné : «Ouf !….»
Tiens… des pistes inattendues apparaissent : une idée, un contact… : me voilà dans une autre énergie. Un merci intérieur et alors je passe à l’action…
Ω