Une méditation planétaire réunit un nombre incalculable de participants

Hier soir, 4 avril 2020, une invitation avait été lancée à travers le globe pour une méditation collective, face à l’événement sanitaire qui nous touche tous.
Certains croient est en effet que nos ondes mises en commun ont un pouvoir insoupçonné d’influence que des initiatives isolées n’auraient jamais.

Après l’événement, un journaliste a interrogé un vieillard auquel des gens attribuent des dons de clairvoyance, et qui avait lui aussi participé à cette méditation.
Il lui a demandé s’il savait combien de personnes avaient participé à l’événement.

Un temps silencieux, l’aîné a fini par répondre  : «…Un nombre incalculable…».
Le journaliste pris de court, convaincu d’avoir affaire à un homme de grande spiritualité, s’est risqué à lui demander :

— Pourriez-vous avancer un chiffre, pour nos lectrices et lecteurs ?

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Transition planétaire : appeler déjà l’énergie du changement…

Rassurez-vous, cette photo n’est pas un rappel des deux mètres de distance à mettre entre nous dans nos rencontres durant la pandémie.

C’est une scène du fameux film Zorba le Grec, qui a tant marqué l’imaginaire des plus âgés d’entre nous, rythmé par le sirtaki, dans une musique du grand Theodorakis.

Que diriez-vous de réécouter cette pièce, en faisant monter des des images de fin de pandémie : nous nous rapprochons physiquement, nous nous touchons enfin …et le seul virus que nous propageons est la confiance que « ça va bien aller » pour la suite…

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Le bonheur, comme rivière

Le bonheur n’a pas fini de nous surprendre : éclats de tendresse… remontée d’un coup dur… paix intérieure… émerveillement d’un sourire d’enfant…
Il est rivière au fil de nos émotions. Celles qu’on savoure tout d’un trait dans l’instant, il les traverse et les met en danse… Celles qui lui dressent un rocher de mémoires douloureuses, il en fait le tour cherchant par où entrer pour les guérir : si on veut bien les accueillir …« à grand coup d’amour » comme il a été chanté, il les récompense de larmes salutaires .
Comment pourrait-il en être autrement ? le bonheur est signature de la Vie au fond de nous, ineffaçable.

Ω

 

Faire de l’émotion douloureuse une amie ?

Mes émotions m’inquiètent et me brûlent de l’énergie quand je les analyse avec le mental plutôt que de les ressentir, aussi longtemps que je lutte contre elles, me croyant en danger.

Quel effet aurait d’observer mon émotion avec bienveillance ? Je me prends dans mes bras en me pardonnant de les vivre …tiens, elles se dissolvent. J’ai alors accès à leur cadeau : elles me rappellent de rajuster mes croyances, ne conserver que celles qui m’assurent par avance que ces émotions sont mes amies. Oui, des profs de croissance à apprivoiser.

Ω

Le petit et le grand, ensemble nécessaires à la vie

Vouloir sauver les caribous tandis qu’on considère la souris des bois comme négligeable ?…
Paul Dixon — trappeur chez les Cris du nord — nous fait cadeau d’un pan de sagesse autochtone : «La souris est tout aussi importante que le caribou. C’est le petit et le grand qui fait tenir la vie ensemble. »

Ω

Partager nos quêtes de sens : l’Atelier Un est né à Québec

J’ai la joie de vous faire connaître ce nouveau-né, l’Atelier Un :
une occasion de cheminer avec d’autres en quête de sens, sur des sentiers ouverts…

NOTE du 3 février : Une rencontre d’information s’est tenue sur cet atelier. Des personnes ont manifesté l’intention de s’y joindre et suggéré une rencontre mensuelle.

Les rencontres sont prévues débuter à Québec vendredi le 14 février, en après-midi.
Les personnes désireuses d’en savoir plus peuvent consulter plus de détails sur l’orientation de l’Atelier, et celles qui aimeraient s’y joindre sont invitées à me fournir leurs coordonnées via notre page ‘Nous joindre‘.

Denis Breton

Quel cadeau voyez-vous pour Noël ?

Naissance… espérance… rencontres chaleureuses ou festives…
Nous ressentons comme une énergie dans l’air : ça fait du bien de nous y connecter.

Des millions de gens vont célébrer, devant ce nouveau-né, le cadeau que Jésus a été pour le monde : un allumeur d’espérance — pour tous un modèle d’humanité, pour plusieurs un ami intérieur.

Ferait-il du sens de nous inclure aussi dans ce cadeau fait au monde ? Célébrer la naissance d’une plus haute conscience en train de nous gagner, personnellement, collectivement : spirituelle, citoyenne ou écologique. Une énergie qu’on sent aussi dans l’air…

Ω

Appeler le soleil au milieu de la nuit : Etty Hillesum

 Cet article prend la suite d’un premier, Etty Hillesum : à force d’être. Je vous avais dit que je vous reviendrais à son sujet. Mon émotion était intarissable à la sortie d’Une vie bouleversée : son journal, puis ses lettres au camp de Westerbork.

Sa lecture intensive m’a tenu en haleine pour deux raisons en particulier. La première touche à sa contribution à ma propre quête de sens : page après page, manifester une telle compréhension de la dynamique de la vie !… On se demande sans cesse où elle a pris ça.
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Lumière sur l’Australie : y pouvons-nous quelque chose ?

Sydney AustralieVisualiser pour soi …et pourquoi pas pour d’autres ?

Vous comme moi entendons de plus en plus souvent des expressions comme envoyer de bonnes énergies, …de la lumière, …de l’amour.
Possible à distance ?…

L’Australie en aurait bien besoin à ce tournant de 2020, aux prises avec les feux qui embrasent sa terre et disperse ses populations. Ou plus près de nous, des gens qui se chamaillent avec le bonheur. Même la science est en train de nous dire que c’est possible…
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Toi mon ami, à l’envers et à l’endroit

Au lendemain d’avoir fait route ensemble, extrait d’un courriel que je ne t’ai pas envoyé :
« …Toi mon ami venu du bout du monde, ta différence me séduit, et par moments me contrarie. Des fois j’aimerais savourer ton fruit sans avoir à me disputer avec l’écorce, j’aimerais voir voler ton papillon sans avoir dû héberger la chenille…

Bizarre mon ressenti quand j’ai éteint, hier soir… Quelque chose avait bougé à l’intérieur. On aurait dit que mon monde avait un peu grandi parce que tu es là, à portée de cœur… J’ai bien dormi. »

Ω

J’ai choisi la vie : le parcours étonnant de Maggy Barankitsé

maggy Barankitse espoirOn l’a surnommée la folle du Burundi

De quel côté tourner le regard pour espérer encore ?…

Voici un reportage plus que percutant d’Alain Crevier, à l’émission Second Regard de Radio-Canada, auprès d’une femme qui ne vous laissera pas tranquille.
C’est dans l’action que Marguerite Barankitsé a canalisé son espérance en notre siècle — paradoxalement au sortir des atrocités qu’elle a vécues en 1993, au milieu des conflits inter-ethniques qui ont embrasé son pays.
« … Alors j’ai choisi la vie …» résume-t-elle avec un regard allumé. ll semble qu’elle ait redonné espoir et éducation à toute une génération d’enfants, contre vents et marées.

J’ai ré-écouté en boucle cette vidéo (1), tellement son témoignage m’a séduit.
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Un mode d’emploi pour changer notre monde ?

Ruminer nos problèmes actuels — personnels ou ceux du monde — ne peut que baisser notre niveau d’énergie. Ils sont le résultats de nos créations d’hier.
Combien de temps ces problèmes vont-ils durer ?… L’abcès doit d’abord aboutir, mais déjà de nouvelles cellules ont entrepris de cicatriser notre peau. Nous sommes comme le tout-petit qui s’est fait mal au genou : à peine voit-il un nouvel objet de désir qu’il ne pleure plus : il est déjà ailleurs.
Des émotions douloureuses, des reproches montent encore ? Les ressentir jusqu’à les pleurer, au besoin; tâcher d’en apprendre quelque chose, puis les pardonner. Mais alors sans tarder imaginer un autre rêve, l’enfanter, le partager…
Nous sommes les créateurs de notre expérience. Toute semence porte sa récolte …pourvu qu’on l’ait mise en terre. Que souhaitons-nous y voir pousser demain ?… 

Ω