Quand nous fonçons à vive allure dans nos il-faut du quotidien, nous avons vite fait de perdre de vue notre trajectoire intérieure. Comment se fait-il que certaines activités hyper-exigeantes nous énergisent, alors que d’autres supposées agréables nous épuisent ?
Se pourrait-il qu’énergie et bonheur voyagent main dans la main ?… Que vaudrait l’idée de conscientiser quelques-uns de nos brûle-énergie ?…
→ Par exemple, ces moments de conflit avec moi-même. J’ai envie de donner mon point de vue, mais je me tais… J’ai placé une initiative en priorité, pourtant je n’arrive pas à m’y mettre… Cette personne me fatigue, mais je me force à rester à son contact…
Quand est-ce que je roule avec le frein à main ? Dans quelle énergie me laissent pareils moments ?…
Nous-même et notre Humanité sommes en train d’élever notre niveau de conscience. Ce qui nous paralyse ou nous enlise doit être regardé en face, puis se voir montrer la porte-arrière …amoureusement. Il n’est plus question de tricoter du neuf dans du vieux.
Denis Breton
Oui, surveillance des “il faut”, parce que souvent ils nous emmènent dans de faux chemins.
Tiens, tu nous fournis ici une piste intéressante pour réagir à ces « faux chemins », comme tu dis.
Quand monte un « il faut… » dans notre caboche, que vaut l’idée d’y répondre : « il faut ?… vrai ou faux ?»
Denis Breton