Il y a des moments où la contrariété, la solitude ou l’inquiétude nous secouent à l’os.
Elle nous ferait questionner jusqu’à la réussite de notre vie, conclure qu’il nous faut recourir à la thérapie, ou partir au bout du monde sur les pas d’un sage d’Orient…
Avant de partir aussi loin, avant même d’ouvrir notre porte sur le dehors :
que vaudrait l’idée de transfigurer notre prochaine respiration en la jumelant à une intention toute simple :
«En même temps que j’inspire le bon air, j’inspire le bonheur…»
→ J’allonge cette inspiration, je la ressens à neuf… Je m’en fais cadeau, quel que soit mon état émotif.
Ça agit tout de suite. Dans l’instant quelque chose en moi vient de changer. Et j’ai repris du pouvoir sur ma vie.
Oui, le bonheur ça se choisit, et ça se pratique…
Denis Breton