Je sors d’une écoute aussi captivante qu’inattendue, par moments même fort émouvante.
Ronald Bernard est un bonhomme qui aujourd’hui plaide la cause des enfants abusés, et ose agir comme dénonciateur (whistleblower) de ce qu’il considère un système occulte puissant, avec lequel il a eu maille à partir.
Abusé lui-même dans son enfance, Bernard est d’abord devenu homme d’affaire, banquier, et au total escroc professionnel, partout obsédé par une seule cible: tirer avec rage sur tout ce qui bouge au sein du monde adulte.
Happé par le système de l’ombre qui le faisait monter en grades, le dernier stade aurait été de consentir à abuser des enfants à son tour: il a refusé, malgré le danger pour sa vie dans la suite.
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On connait tous cette maxime, qu’on dit d’origine tibétaine :
Voici un écho de la rencontre du 24 mars dernier, suivi d’un aperçu de celle du mois prochain: 21 avril.
Un matin récent, alors que je me levais avec un visage un peu tuméfié, j’ai eu l’impression de conscientiser une nouvelle étape dans ma façon de me regarder dans le miroir.
Dans les deux parties qui précèdent, j’ai d’abord présenté ce qui était particulier des enseignements recueillis par canalisation, et aussi leurs liens avec l’histoire qui les a précédés. 
J’ai fait ces temps derniers une prise de conscience qui m’a mis le cœur en danse. Je l’ai tôt logée dans mon tiroir-de-confiance. Et j’avais bien hâte de vous la partager. (1)
La première partie de cet article esquissait une comparaison entre les enseignements issus d’une religion dite révélée, et ceux recueillis par canalisation (channeling).
Mon état d’esprit du moment — positif ou négatif ? victime ou créateur ? — est un jardin : je choisis sans cesse quelles semences je mets en terre, puis quelles plantes j’arrose.