Il n’est pas de trop de revenir à ce thème capital.
Bien des sources d’enseignement spirituel convergent à nous proposer que notre quête ultime est de répondre à cette question: «Qui suis-je?» — pas par la tête, mais avec le cœur.
Il semble que nous voulions étudier à l’adversité pour en obtenir une sorte de diplôme: arriver à la conviction que nous sommes divins par nature, une étincelle de la Source de la vie — et donc forcément magnifique, aimé, amour. Car alors ça peut changer bien des choses dans l’appréciation de notre quotidien, dans notre attitude face aux gens que nous croisons, bref, dans nos raisons de vivre cette vie riche en défis.
Comment réagissez-vous à pareille perspective ?…
→ Réussissez-vous à vous connecter à cette adresse, d’une façon sensible? Dans quelle énergie ça vous laisse alors?…
Ces deux propositions m’ont aidé
♥ Concentrer mon attention sur la pointe de mon cœur, me figurer qu’il y a là une étincelle de lumière — elle est là, ma Source divine intérieure, mon identité cosmique, qui ne demande qu’à prendre toute la place si je lui permets, si je me rends disponible.
Je me la représente qui grandit, grandit…jusqu’à occuper tout l’espace de mon cœur, puis tout l’espace de mon corps, jusqu’à m’envelopper de sa lumière … jusqu’à provoquer l’émotion d’une fête de l’instant, que je ne demande pas mieux que d’offrir au monde joyeusement.
Certaines sources invitent à y ajouter la vision d’une colonne de lumière qui nous pénètre par le crâne (chakra de la couronne) et qui vient rejoindre, alimenter le cœur.
♥ L’autre proposition est de prendre plaisir à répéter en toute conscience le mantra : «JE SUIS lumière, JE SUIS amour, JE SUIS vérité» ou toute autre affirmation qui me remplit d’aise. Pour moi, j’aime bien y ajouter «…et JE SUIS une expression singulière du Divin au monde…»
Denis Breton