>>> PREMIÈRE PARTIE DE L’ARTICLE

Voici pour compléter l’aperçu que je souhaitais vous partager sur les sociétés hautement évoluées qui existeraient en dehors du champ terrestre.

Leur exemple a de quoi nous  inspirer et nous donner confiance, car il préfigure ce que nous pourrons nous-même réaliser à mesure que nous allons délaisser notre expérience actuelle de survie, optant pour repasser du côté de la vie.
Voyons donc quelques caractéristiques additionnelle sur ces sociétés  d’avant-garde…

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·      Les bottines suivent les babines

Conscients d’être magnifiques par nature, les citoyens des sociétés avancées se font un point d’honneur d’agir en cohérence entre ce qu’ils pensent, disent et font, et de tenir parole. Par exemple, il ne leur viendrait pas à l’idée d’exposer leurs enfants à des films de violence, sachant que c’est contre-productif avec l’idéal de les apprivoiser à un monde de relations pacifiques.

·         Les gens agissent par efficacité

Convaincus que la vie s’appuie sur quelques grandes lois immuables, dès qu’ils voient un problème, ils remontent aux causes et utilisent des solutions qu’ils savent fonctionner : celles qui sont alignées avec la vie auront la capacité de durer, car la Vie les soutient de son énergie. Par exemple, ils savent que tout ce qui n’est pas dans la ligne de l’amour serait voué à se dissoudre, puisque l’amour est la seule énergie à la racine de la vie, donc la seule capable de soutenir toute chose en existence.

·         La défensive n’a pas de place

Conflits et compétition liés à la survie n’existent pas chez eux, puisque ces gens se reconnaissent en toute sécurité dans la vie. Par exemple, tuer quelqu’un d’autre — sauf s’il l’avait demandé — n’apporterait aucune correction de justice, et ça ne ferait pas évoluer la personne puisqu’elle ne peut évoluer que lorsqu’elle se sent aimée.
Sans doute va-t-on plutôt amener la personne à prendre du recul sur sa compréhension de  la  vie et sur ce qu’elle veut créer pour  sa  vie, lui rappelant que ses besoins réels et ses aspirations légitimes seront toujours satisfaits si elle en entretient l’état d’esprit. 

La même conviction de l’Unité entre tout ce qui vit leur fait croire que si quelqu’un se réaligne après avoir dérapé, c’est toute la collectivité qui va en profiter sous forme de bien-être et de prospérité.
« Et s’il arrivait que quelqu’un nous menace de mort ? » pourriez-vous demander, en songeant à une autre personne, ou même des extra-terrestres belliqueux.  Avec leur vision de la sécurité, vous ne sentiriez pas le besoin de protéger votre enveloppe corporelle, convaincu que c’est un véhicule temporaire et que vous reviendriez sain et sauf dans la vie, sous une forme ou sous une autre.

·         Ils respectent leur environnement

Ici encore, comme les gens très évolués ont la conviction d’une interdépendance de tout ce qui vit, négliger le respect de leur environnement apparaîtrait l’équivalent de couper la branche sur laquelle ils sont assis : ce serait se montrer bien immature.
Quand on y pense, pareille croyance est chérie par les sociétés autochtones terrestres depuis des millénaires. Surtout qu’elles considèrent notre Terre Gaia comme un être vivant, littéralement une mère pour nous tous, et qu’elle est même rendue plus loin que nous dans son évolution. Ça nous donne une certaine illustration que ces pistes de positionnement sont plus à notre portée que nous pourrions le croire.

·         Ils partagent volontiers

Les êtres des sociétés hautement évoluées se savent enfants de l’abondance. Ça fait qu’ils n’ont pas le sentiment ou la peur de manquer, et du coup ne sentent pas le besoin de s’approprier des biens ou de délimiter un territoire. Comme il faut qu’une rivière circule pour que son eau reste cristalline, Ils sont convaincus qu’il s’agit de garder l’énergie de la vie en mouvement s’ils veulent qu’elle se renouvelle pour eux. « Donner au suivant… », diriez-vous ?

De plus, convaincus qu’ils sont co-créateurs avec la Vie, ils savent qu’ils ont accès à créer en route les situations dont ils vont éprouver le besoin ou le désir, en autant qu’ils portent attention, encore une fois, à la qualité de leur état d’esprit.

À l’exemple d’une famille, ils savent que leur société comme un ensemble ne tiendrait pas le coup si certains profitaient du système en place et d’autres pas. Du coup ils pensent coopération, remplacent la notion de propriété par cette de protecteur ou de dépositaire d’un bien commun.
Parlant de partage, on peut sans peine imaginer qu’il est puissamment enraciné dans la conviction d’être inconditionnellement aimés par la Source de la vie; de ce fait, on dit que leur sentiment naturel d’appartenance face à leurs proches s’étend avec la même logique à toute leur communauté élargie.

Conclusion

On trouve dans ces descriptions un avant-goût de ce que nous pourrons vivre en permanence nous aussi, une fois que sera bien entreprise notre ascension dans ce qu’on appelle la 5e dimension.
On nous assure que nous la vivrons sur Terre et conserverons nos corps, qui seront régénérés — ce qui est présenté comme une première à l’échelle de notre univers — infime partie d’un Cosmos plus vaste. 

Une réaction spontanée à  ces descriptions a de quoi nous faire dire «…Ouf ! la marche est haute pour atteindre ces standards de vie… »
C’est vrai. Encore une fois, il faut nous redire que le décalage que nous éprouvons tient essentiellement à l’expérience de l’Illusion que nous n’avons pas fini de laisser derrière nous.
À nous reconnecter à plus grand que nous, nous allons retrouver la certitude d’être aussi aimés que ces êtres par la Source créatrice, et d’être régis par les mêmes dynamismes de fonctionnement de la vie. Car nous sommes tricotés des mêmes éléments fondamentaux qui font la vie, et eux tout comme nous sont en évolution continue.

Il devient alors réconfortant d’apprendre que l’Humanité aurait demandé déjà, à un niveau profond, de sortir de cette expérience d’Illusion que nous prenons encore pour la vie. Comme la Vie n’enfreint pas la liberté qu’elle nous a donnée, ce cri a été entendu : elle peut désormais décupler l’aide qu’elle nous apporte sur cette voie, puisque nous ouvrons de l’intérieur la porte qui nous permet de la recevoir.
L’impossible ? C’est ce qui n’a pas été essayé encore…

Denis Breton