Voici des propositions étonnantes. Elles ne parlent plus du mode de fonctionnement de la vie, mais du virage d’évolution qu’auraient entrepris la planète Terre et l’Humanité.
Des visions audacieuses, qui si elles sont fondées, ont de quoi révolutionner nos espoirs : d’une part face à notre évolution personnelle; d’autre part face à la viabilité de la planète, car l’Humanité est aussi concernée comme un ensemble.
De quoi révolutionner aussi nos attitudes, car ces propositions mettent en valeur l’amour inconditionnel comme un incontournable à l’agenda de notre approche de la vie et de nos relations.
→ J’ai mis du temps à trouver crédibles pareilles perspectives, tellement elles représentent un saut qualitatif important. Il m’a fallu aussi des années à construire ma confiance dans les enseignements recueillis par canalisation — d’où proviennent la plupart de ces enseignements futuristes. Je faisais sans cesse le pont avec l’Évangile, ma valeur sûre; je voulais élargir ma vision, mais conserver une cohérence d’ensemble. Pourtant, une soif au fond de moi me disait d’aller plus loin…
Un cri de la Terre, un appel de l’Humanité
Pour contextualiser ce qui suit, il faut savoir que la Terre — Gaia comme l’appellent les Premières nations — serait un être spirituel tout comme nous, et même qu’elle nous devance dans son évolution.
Elle aurait crié à l’aide face à tout ce que l’Humanité lui fait vivre, au point d’avoir mis sa vie en danger. La Vie aurait répondu à son appel, si bien qu’au plan énergétique elle serait, depuis récemment, passée de la 3e dimension —qui est la nôtre encore — à la 5e dimension, et même plus haut, mesurable à sa fréquence vibratoire.
La collectivité humaine — de façon largement inconsciente sans doute — aurait elle aussi manifesté son désir de sortir de l’expérience d’illusion (Dualité) à laquelle elle avait choisi de s’associer depuis si longtemps. Du coup, nous devenons réceptifs à des aides puissantes de la Vie, pour nous aider à faire, autant que Gaia, un saut de conscience majeur.
Dans les deux cas on parle d’une Ascension. Les Bouddhistes avaient popularisé la notion d’Éveil — au sens personnel, mais pas au sens collectif, à ma connaissance. Et, fait inusité dans toute l’histoire humaine, cette ascension pour ce qui concerne les êtres humains est appelée à se vivre dans nos corps, et sur Terre — alors qu’auparavant il fallait passer par la mort physique.
De plus, elle devient une expérience collective : on parle d’une ascension de masse, qui se vivra par vagues successives. Ceux qui se seront ouverts à la vivre connaîtront une regénération physique : conservant l’apparence de la trentaine, ils connaîtront une durée de vie terrestre autrement plus longue que ce que nous connaissons.
La planète redeviendra le Jardin d’Eden qu’elle était prévue d’être, avec notamment un climat plus tempéré que le nôtre aujourd’hui.
Cette montée de conscience est toujours autant conditionnée par notre libre-arbitre : ceux qui auront manifesté en profondeur l’aspiration à vivre dans l’amour y ont accès; ceux qui se suffisent d’une vie adaptative où l’œil-pour-œil-dent-pour-dent est encore de mise, partiront jouer à la guerre encore, sur une autre planète. Ils ne s’y sentiront pas dépaysés, continuant d’évoluer à leur rythme : la Vie ne porte pas de jugement, chaque être évolue selon ce qui lui convient le mieux et quand il est prêt.
Un changement déjà entrepris
Cette perspective est décrite ici au futur, mais il semblerait que nous sommes au seuil de cette mutation : déjà, nos corps auraient commencé à réagir aux influx lumineux que notre soleil envoie de plus en plus forts — influx que même la NASA a reconnus de date récente, ai-je lu.
Et des changements commencent à être discernables à plusieurs signes déjà :
– Dans l’expérience personnelle d’abord : tendance à vivre l’instant présent, augmentation de l’intuition, même de la télépathie, priorité plus grande apportée à nos relations,…
– Dans l’expérience des sociétés aussi : rapports hommes-femmes plus égalitaires; montée des mouvements d’opposition citoyenne au racisme, à l’abus des enfants, à l’usage des armes,…; explorations des peuples en direction d’un revenu minimum garanti, de solution des conflits par la négociation plutôt que par la guerre,…
– Au plan de la planète et nos rapports avec elle : la neige fond aux pôles, les saisons n’ont plus la même durée, des rivages et des cours d’eau sont inondés plus souvent.
On nous a appris à craindre ce réchauffement, souvent pour des raisons d’écologie. Il faut nous rassurer qu’il nous sera bénéfique. Par contre, il y a effectivement urgence de prendre soin de notre planète : respecter ses équilibres naturels, cesser de la polluer, lui redonner ce que nous lui avons pris,…
Au total, il y a là une source d’espérance gigantesque, à peine croyable quand on l’envisage avec les yeux de notre Humanité — qui vit depuis des millénaires en mode survie.
Perspective d’autant plus étonnante que pareille expérience serait inédite dans notre univers à nous. Et que la majorité des êtres humains aujourd’hui sur la planète auraient fait le choix de cette grande transition avant même de s’incarner dans cette vie. Les uns avaient surtout un but d’évolution personnelle; d’autres, un but de service à l’Humanité à titre d’artisans de lumière (lightworkers).
Denis Breton
Retour au menu de notre Foire aux questions