Dépasser les complots, enfanter le nouveau

Des tragédies laissent entrevoir des manipulations orchestrées à grande échelle (ex. feux de forêts, épidémie, abus d’enfants,…): ça nous est confirmé au plan spirituel.
Il faut que ce soit connu, si nous voulons générer un autre monde.
Toutefois, il importe de ne pas s’en affecter émotivement, et d’éviter le piège des étiquettes qui cherchent à discréditer, faire taire, antagoniser.

De plus en plus de gens décident de prendre de l’altitude, recherchent d’autres approches que le blâme: il ne fait qu’abaisser notre niveau d’énergie, et avec elle notre immunité: tout ce qu’il faut pour nous faire douter de l’Humanité, nous apeurer de l’avenir.
Résolus à entretenir leur joie de vivre et leur confiance, ces gens questionnent comment fonctionne la vie à sa racine: nous fournirait-elle des stratégies de mieux-être et de changement social moins douloureuses, plus efficaces? Regardons ça de plus près…

   Qu’est-ce que nos réactions antérieures ont donné?

Pour y voir plus clair, je vous amène sur une proposition en partie inspirée de ceux qu’on appelle le Conseil arcturien — une source remarquable évoquée déjà plusieurs fois dans ce blog. Essayons de résumer leur diagnostic de situation. (1)

Nous voulons que les drames ne se reproduisent pas. Bien intentionnés, le réflexe est de chercher les causes, les coupables, de les traîner en justice, puis d’attendre nos gouvernants qu’ils renforcent les lois, d’où les contrôles : c’est ce que notre monde fait depuis des siècles.

Le hic, c’est que ce terrain de jeu du blâme a prouvé être surtout efficace à nous maintenir dans des rapports conflictuels …jusqu’à désespérer des autres, de soi et de l’avenir du monde. Nous ne voulons plus des tragédies et des guerres, mais nous ne comprenons pas bien encore comment faire la paix.
Ce scénario, c’était hier — jusqu’à hier soir tard, disons.

Trouver la paix du cœur pour générer la paix mondiale?…

Une bonne nouvelle: notre Humanité est déjà rendue plus loin, son niveau de conscience s’est considérablement élevé malgré les apparences: ça nous est confirmé au plan spirituel.
De plus en plus de gens comprennent que changer notre monde ne se fera pas à frapper sur ce que nous ne voulons plus, mais à créer ce que nous voulons  — comme une grossesse. Et que cette création est dans l’être d’abord, ensuite seulement dans l’action. Que c’est un phénomène énergétique, qui demande d’élever notre qualité vibratoire.

En fait, les tragédies et les méchants de la pièce ont eu leur raison d’être: la guerre, une inondation ou un feu de forêt, ont fourni l’occasion à des millions de gens de se connecter à leur cœur pour porter secours. Ils ne se doutaient pas que du même coup ils agissaient en guérisseurs pour eux-mêmes. Ils appliquaient l’invitation des sages de toutes les époques: «Si la haine n’a rien donné, essayez l’amour…»

Si on y regarde bien, il y a là un dépassement de nos morales anciennes: nous approchons d’une vision d’unité de la famille humaine, avec le désir d’être une partie de la solution…. Délaissant la dualité, nous entendons mieux notre cœur. L’amour n’est plus une injonction religieuse ou une vertu morale: il apparaît comme un levier d’efficacité: tout bonnement parce qu’il mime la seule stratégie que connaisse la Vie. Une guérison du monde est en chemin…

Jusqu’à mieux comprendre pourquoi nous sommes ici

Personnellement, j’ai mieux saisi la perspective qui précède quand on m’a fait voir l’histoire de l’Humanité jusqu’ici comme l’expérience de nous croire séparés de la Source, pour voir si nous pourrions nous en passer. Nous nous installions dans une expérience de survie, qui créait la dualité …et les conflits. Il nous faudrait reconquérir la mémoire de qui nous sommes: des êtres d’amour, et que ça. 

Notre Humanité est proche de cette conquête. Et nos amis du Conseil arcturien vont même plus loin dans leur message: si nous sommes ici, c’est que nous avons signé pour aider l’Humanité à franchir le pas: «…C’est votre travail en tant que Collectif Éveillé, et c’est un travail difficile, c’est un défi, mais c’est le travail pour lequel vous vous êtes engagés dans cette vie.»

Denis Breton           
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(1) «Earthquakes, Fires & Other Cataclysms», par le Conseil arcturien 9D, via Daniel Scranton.

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